Khabib ne semble absolument pas perturbé par les incidents d’hier : « J’en rigole intérieurement. Tu casses une vitre? Pourquoi? Viens à l’intérieur. Si tu es un vrai gangster, pourquoi ne viens-tu pas à l’intérieur? C’est une place réputée pour ses gangsters. Brooklyn. Tu veux me parler? Dis-moi où. Nous devons parler? Je viens, pas de problème. J’ai grandi comme ça. Je n’ai pas grandi en envoyant des chaises sur les vitres. Ce n’est pas mon bus. Ce n’était pas le bus de mon équipe, c’était le bus du coin rouge. Mon équipe n’était pas avec moi. Il n’y avait que moi, (mon manager) Ali Abdelaziz et un homme de coin, Muhammed. Tout le coin rouge était dans le bus. Rose Namajunas, Al Iaquinta, Karolina Kowalkiewicz, Ray Borg, Tous. Je me sens bien. Demain, je vais faire le poids. Samedi, je vais prendre la ceinture et changer le game. Pour être honnête, je ne veux pas qu’il aille en prison. Nous devons combattre. Si nous devons combattre, faisons-le. Dites-moi où. Nous devons régler ça. Toi et moi. Un contre un. Tu veux 10 contre 10? OK. Je mettrais une gifle à toute son équipe et personne ne dirait rien. Il est venu avec les médias, avec des caméras alors que j’étais seul. Bien évidemment je voulais sortir mais ils ne m’ont pas laissé sortir du bus. Il le sait. Ils ne feront rien, je suis là »
Il s’est également adressé directement à l’Irlandais : « Bien sûr, ils savent qu’il y a beaucoup de sécurité, des médias, il sait que ça va frapper gros, ils arrivent avec 30 personnes...Viens là, envoie moi un message, dis-moi où, je vais venir, où tu veux, New York, Brooklyn ou Moscou peu importe, dis-moi où »
A lire aussi :
- Pourquoi McGregor est impardonnable
- Les conséquences possibles du craquage de McGregor et la réaction de Dana White