Benoit Saint-Denis change de catégorie ? Son manager met les choses au clair

L’un des combattants français les plus appréciés du public prépare activement son retour. Après sa défaite en septembre dernier face à Renato Moicano en main event du troisième événement parisien de l’UFC, Benoit Saint-Denis a pris le temps de se ressourcer et de revenir plus fort.

Un temps pressenti pour combattre à l’UFC 315 à Montréal, sur la même carte que Manon Fiorot, BSD ne devrait finalement pas être de la partie. Cependant, il continue son entraînement intensif. Sur Instagram, il a récemment teasé une "grande annonce" à venir, laissant place à de nombreuses spéculations.

Un passage en -77 kg ? Son manager dément

Avec près de 800 000 abonnés sur Instagram, Benoît Saint Denis a laissé ses fans spéculer en leur proposant de deviner quelle serait sa prochaine annonce. Lorsqu’un internaute lui a demandé s’il comptait monter en -77 kg (welterweight), le Français a simplement répondu avec un fond noir et un emoji laissant entendre que cette possibilité n’était pas à exclure.

Il n’en fallait pas plus pour que son manager, Guillaume Peltier, intervienne pour calmer les rumeurs. "Je vois partout que BSD va monter en -77 kg d’après les déductions de quelques médias 🤦🏻‍♂️", a-t-il déclaré en story Instagram, avant d’ajouter avec ironie dans une publication suivante : "Prochain fight de BSD en lourds-légers. J’espère qu’ils ne vont pas lui proposer Oumar..." en référence a Oumar Sy, combattant -93kg aussi sous la tutelle de Peltier.

Une catégorie tout aussi relevée

Pour rappel, Benoît Saint Denis avait déjà combattu en -77 kg lors de son tout premier combat à l'UFC, en octobre 2021 face à Elizeu Zaleski dos Santos. Un affrontement extrêmement éprouvant où le Français s'était incliné par décision unanime, avant de redescendre en -70 kg (lightweight), où il a enchaîné les performances remarquées. Si BSD venait à remonter en welterweight, le défi serait de taille. Il y retrouverait des adversaires redoutables comme Michael "Venom" Page, Shavkat Rakhmonov ou encore Carlos Prates. Une chose est sûre : quel que soit son choix, l’attente autour de son retour est immense.