Arman Tsarukyan explique pourquoi il a frappé un spectateur lors de son entrée à l'UFC 300

C'est un débordement qui a marqué l'UFC 300. Arman Tsarukyan s'en est pris à un spectateur de la T-Mobile Arena à Las Vegas. Dans la confusion générale, le combattant arménien s'est retrouvé à frapper un fan présent sur place, aux abords du passage qui mène les combattants à la cage. Le combattant, qui a affronté Charles Oliveira, qu'il a vaincu par décision partagée, a reçu un doigt d'honneur, qu'il n'a pas laissé passer. Interrogé en conférence de presse après ce combat, il a donné plus de détails sur l'altercation.

Arman Tsarukyan frappe un spectateur lors de son arrivée dans la cage de l'UFC

C'est une scène qui a fait réagir lors de la diffusion de l'UFC 300, l'une des plus grosses cartes de l'année et de l'histoire de l'organisation. Arman Tsarukyan, dont l'arrivée dans la cage est filmée comme l'organisation en a l'habitude, a été aperçu en train de donner un coup de poing à un spectateur, sans qu'on sache alors exactement ce qui a entrainé ce débordement.

Le combattant arménien s'est jeté dans la foule qui entoure le passage vers l'octogone, et s'en est pris à un fan, sans qu'on ait le temps de comprendre ce qu'il se passait. En revoyant les images, et écoutant le conférence de presse d'après-combat d'Arman Tsarukyan, on en a apprend plus sur ce débordement.

Un geste provoqué par un doigt d'honneur du spectateur

Interrogé sur cet incident, Arman Tsarukyan a annoncé lors de sa conférence de presse que quelqu'un lui avait fait un doigt d'honneur et essayé de le frapper, ce à quoi il a immédiatement répondu :"Il m'a fait un doigt d'honneur et essayé de me frapper, j'ai essayé de frapper en retour". Une version corroborée par des images, qui montrent bel et bien quelqu'un lui faire un doigt d'honneur, ce qui n'est pas passé pour le combattant arménien.

"Personne ne me fait un doigt d'honneur, peu importe qui es-tu, je vais te frapper", a déclaré Arman Tsarukyan lors de sa conférence de presse. "Je viens de Russie, ne me faites pas ça s'il vous plait, ou je vais aller en prison aux États-Unis", a conclu le combattant, non sans ironie.