Dans le clan de Conor McGregor, rien ne va plus en ce moment. Alors que le combattant star de l'UFC a récemment frappé un célèbre DJ lors d'un voyage en Italie, son coach en jiujitsu brésilien, Dillon Danis, a quant à lui été soumis par un videur au cours d'une soirée. Un fâcheux évènement qui a été suivi par une interpellation par les forces de police.
Dillon Danis raconte sa bagarre avec le vigile d'un bar
La vidéo est vite devenue virale sur les réseaux sociaux et a déclenché les moqueries des internautes. Comment un entraineur de haut-niveau, ceinture noire de jiu jitsu brésilien, a-t-il pu se faire soumettre par un videur grâce à un étranglement arrière ? Dillon Danis l'a expliqué au célèbre journaliste Ariel Helwani dans l'émission The MMA Hour.
Sur l'extrait qui a fuité, on voit simplement celui qui ne compte que 2 combats professionnels de MMA en carrière au sol, un vigile sur le dos. Comment en est-on arrivé là ? Tout est parti d'une histoire d'oubli de papiers. Sans documents officiels, Danis n'a pas reçu l'autorisation pour rentrer. Le ton est alors monté et d'autres vigiles sont arrivés.
"Ce type n'arrête pas de me tapoter sur la tête et me dit : 'Que se passe-t-il si je te touche ?' J'étais en mode, 'mec, arrête. J'essaie juste de m'amuser, s'il te plaît, ne fais pas ça.' Il dit : 'D'accord, je vais le refaire.' Il commence à me taper sur le front. Alors, une bagarre s'ensuit."
Danis n'a pas voulu s'épancher sur la suite, l'affaire étant toujours en cours d'investigations. Mais il a tout de même affirmé que les policiers étaient de son côté et qui l'ont amené à une autre soirée après son passage au commissariat.
Habitué à défrayer la chronique
Un incident qui est à rajouter à la longue liste des dérapages de Dillon Danis. Lors de l'UFC 229 McGregor vs Khabib, il avait insulté le Daghestanais durant tout le combat avant que ce dernier ne lui saute dessus à l'issue de sa victoire. L'Américain est également connu pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, provoquant sans cesse les combattants de l'UFC sur les réseaux sociaux sans raisons apparentes.
