Quand et où suivre la conférence de presse entre Conor McGregor et Khabib Nurmagomedov :
La conférence de presse de l'UFC 229 sera à suivre en direct ICI à partir de 23h heure française.
The Notorious
Ce jeudi au Radio City Hall de New York, se déroule la conférence de presse de l'UFC 229 avec le plus gros combat de l'histoire de l'organisation, Conor McGregor vs Khabib Nurmagomedov. Comme à son habitude, Conor devrait illuminer la pièce de ses skills de trash-talk. Il est objectivement le meilleur de la discipline, et de loin. Focus sur ses meilleures punchlines.
Nate Diaz
Avant l'UFC 196 et le premier combat contre Nate Diaz, le natif de Stockton a pris lourd lors de la conférence de presse organisée à l'arrache après le forfait de Rafael Dos Anjos. En cause, la contradiction entre ses signes de gang et son implication dans sa ville : "J’aime bien le petit frère de Nick. Il enseigne le jiu-jitsu à des enfants le dimanche matin et fait du vélo avec les personnes âgées. Il fait des signes de gang avec la main droite, et des ballons gonflables avec la main gauche".
Jeremy Stephens
Peut-être la plus connue de toutes à ce jour. Lors de la conférence de presse du premier UFC à New York, Stephens tente de tirer son épingle du jeu en criant au public qu'il est un combattant qui met des vrais KOs, contrairement aux TKO habituels de l'Irlandais. La réponse est sale, et ne se fait pas attendre : "Who the f*** is that guy ?". Une punchline aromatisée au mépris.
Rafael Dos Anjos
Avant l'officialisation du combat contre RDA qui n'aura finalement pas lieu, Conor s'en était déjà pris au Brésilien : "Je peux te rendre riche, je peux changer ta vie. Tu me combats c’est la fête. Quand tu signes pour me combattre c’est une fête, tu rentres chez toi tu dis à ta femme ‘Baby on l’a fait, on est riche baby, Conor McGregor nous a rendus riches, sort ta culotte rouge on est riche". Un classique
Le Brésil
Plus que contre RDA et Aldo, c'est une guerre mentale contre le Brésil que le Notorious a menée lors de la promotion de l'UFC 189. Face à une foule totalement convertie à la cause de José Aldo, il se lâchera et narguera le peuple brésilien : "Je possède cette ville, je possède Rio de Janeiro. Je suis assis ici avec mes pieds sur le bureau, qu’est-ce que vous allez faire par rapport à ça ?".
Un beau petit florilège qui devrait s'agrandir dès aujourd'hui !
