De combattant de MMA à businessman, il n'y a qu'un pas qu'a franchi Khabib Nurmagomedov. Ancien champion des poids légers à l'UFC et considéré comme l'un des meilleures athlètes de tous les temps, le Daghestanais est aujourd'hui à la tête de sa propre organisation d'arts martiaux mixtes, le Eagle FC. Autant d'occupations qui ont fait de lui un homme multi-millionnaire à la tête d'une fortune colossale.
Des salaires colossaux à l'UFC
Ayant débuté sa carrière dans le MMA en 2008, Khabib Nurmagomedov a rejoint l'UFC en 2012. Ce n'est réellement qu'à partir de ce moment-là que le sportif a commencé à très bien gagné sa vie. Au total, et selon le site Essentially Sports, le néo-promoteur a ainsi collecté près de 14,7 millions de dollars dans l'octogone. Voici le détail de ses différents salaires :
- VS Kamal Shalorus – 16 000 dollars
- VS Gleison Tibau – 20 000 dollars
- VS Brad Tavares – 24 000 dollars
- VS Abel Trujillo – 25 200 dollars
- VS Pat Healy – 46 000 dollars
- VS Rafael dos Anjos – 64 000 dollars
- VS Darrell Horcher – 53 000 dollars
- VS Michael Johnson – 57 000 dollars
- VS Edson Barboza – 215 000 dollars
- VS Al Iaquinta – 530 000 dollars
- VS Conor McGregor – 2 040 000 dollars (moins une amende de 500 000 dollars pour la bagarre d'après-combat)
- VS Dustin Poirier – 6 090 000 dollars
- VS Justin Gaethje – 6 090 000 dollars
Des conférences à 300 000 dollars
Mais ces émoluments ne suffisent pas à approcher la fortune de Khabib Nurmagomedov. Comme c'est le cas des plus grandes stars de l'UFC, il touchait également un pourcentage sur les ventes des pay-per-views auxquels il participait. De quoi s'assurer un complément de revenu plus qu'intéressant.
Ainsi, en tout et pour tout, la fortune de celui que l'on surnomme "The Eagle" est estimée à 85 millions dollars par des sites spécialisés, dont Sportune. Un montant conséquent qui s'explique également par la vente de ses apparitions durant des conférences. Pour obtenir une prise de parole de l'ex-combattant, il faut aligner 300 000 dollars selon son manager Ali Abdelaziz. De quoi se mettre à l'abri du besoin.