Un ancien champion de l'UFC a parlé des gros salaires proposés par le GFL, la nouvelle organisation de MMA par équipes officialisée dernièrement. Tyron Woodley a parlé de montants similaires à ceux de la boxe anglaise, des sommes qui sont loin d’être courantes dans le monde du MMA, et qui pourraient, en plus des autres avantages proposés par l'organisation, convaincre bon nombre de combattants.
Tyron Woodley parle des gros salaires du GFL
"J'aime ça parce que les anciens sont payés", a déclaré l'ancien champion de l'UFC Tyron Woodley à Ariel Helwani. L'ancien combattant de l'UFC fait partie des grands noms qui ont intégré le GFL. L'Américain met clairement en avant les solides avantages financiers promis par la nouvelle organisation pour justifier ce choix de signer dans cette nouvelle ligue : "Obtenir de l'argent digne de la boxe en MMA. Je suis content de faire partie de la nouvelle vague".
Désirant revenir au MMA après un séjour difficile en boxe, marqué par deux défaites face à Jake Paul, Tyron Woodley estime avoir fait un bon choix pour son come back en MMA. L'ancien champion a déclaré qu'il sera respecté et valorisé à sa juste valeur dans cette nouvelle organisation : "Je ne ferai pas partie de quelque chose qui ne me rémunérera pas très généreusement ou ne me placera pas sur une plateforme où l’attention des médias va renforcer ma marque", a déclaré l'ancien champion de l'UFC.
Le GFL, une nouvelle organisation de MMA qui pourrait bousculer le milieu des arts martiaux mixtes
Tyron Woodley n'est pas le seul combattant qui a été séduit et convaincu par le GFL. La nouvelle organisation a mis de solides arguments sur la table pour convaincre de nombreuses stars et anciennes stars du MMA de signer chez eux, et sortir de leur retraite sportive. Des noms comme Wanderlei Silva, Anthony Pettis ou encore Gegard Mousasi ont signé chez la nouvelle organisation de MMA par équipes.
Le GFL promet un partage à 50-50 des bénéfices, ainsi qu'une couverture sociale et une retraite sportive, une prise en charge et des avantages inédits dans le monde du MMA. Une vraie politique sociale qui pourrait déranger les ligues bien installées, comme l'UFC et le PFL, qui ne sont pas reconnues pour leur bon traitement des athlètes.