Si un combattant incarne la force mentale et physique, c'est bien Francis Ngannou. Le combattant du PFL a connu une épreuvedouloureuse avec le décès de son fils âgé de 15 mois, Kobe. Interviewé par Konbini, Francis Ngannou a déclaré ne pas avoir dépassé ce drame, mais plutôt avoir appris à vivre avec, ce qui va lui permettre de relever tous les défis qui attendent la suite de sa carrière.
Francis Ngannou révèle la façon dont il vit avec le deuil de son fils
"Je ne pense pas que je l'ai surmonté, on va dire je suis plutôt en phase de rééducation pour vivre avec, c'est un nouveau mode de vie, c'est un truc où tu vas apprendre à vivre avec. Ce genre de chose ne nous quitte jamais". Interrogé par Konbini sur la façon dont il gère la mort de son fils, un drame survenu en avril 2024. Francis Ngannou déclare ne pas avoir passé cette épreuve, mais plutôt avoir appris à continuer à vivre malgré tout. Un vrai exemple de ténacité et de force morale, tout ce dont le combattant de MMA nous a habitué.
Malgré la disparition tragique de son fils, Francis Ngannou a choisi de continuer à progresser en MMA et dans la vie, notamment en retournant dans la cage face à Renan Ferreira au PFL, un combat qu'il a gagné par KO au premier round. Une échéance qui était très symbolique pour l'ancien champion de l'UFC, qui a dédié ce combat à la mémoire de son fils Kobe.
La suite pour Francis Ngannou
Difficile de savoir ce qui attend le nouveau champion du PFL pour la suite de sa carrière sportive. Revenant d'une belle victoire en MMA, Francis Ngannou a l'embarras du choix entre la boxe et les arts martiaux mixtes. Ayant connu deux défaites en boxe anglaise, le "Predator" a déjà parlé de son désir de revenir dans la discipline, mais aucun adversaire semble se distinguer à l'heure actuelle, et aucun combat avancer dans les négociations.
En ce qui concerne le MMA, plusieurs acteurs des sports de combat ont longuement évoqué un combat face à Jon Jones, une rencontre qui aujourd'hui relève plus du rêve que de la réalité. Les deux combattants sont proches de la retraite, et surtout sont signés dans deux organisations concurrentes, qui ne semblent pas du tout prêtes à collaborer.