Depuis son dernier combat contre Cédric Doumbé le 7 mars dernier, Baysangur "Baki" Chamsoudinov était envoyé un peu partout. UFC, KSW, Ares, PFL... toutes les organisations étaient mentionnées pour accueillir les prochaines apparitions dans la cage du pensionnaire du MMA Factory. La nouvelle est finalement tombée ce lundi 17 juin, c'est le PFL qui s'est offert les services du jeune combattant tricolore, moyennant un contrat très juteux.
Baki au PFL pour cinq combats, dont un contre Doumbé
C'est une question que le public se posait avec insistance : où Baki allait-il signer ? Alors que des rumeurs l'envoyaient à l'UFC pour un premier combat à Paris le 28 septembre, c'est finalement au PFL que le Tricolore montrera ses talents. Comme annoncé par le média Maitres Fumiers, et confirmé par son frère et manager Rassoul Chamsoudinov, Baki va rejoindre la Professionnal Fighters League.
D'après les informations du média partagée par son frère, Chamsoudinov a signé un contrat de cinq combats avec l'organisation. Dont un contre Cédric Doumbé pour la revanche tant attendue. Au sein de la ligue américaine, l'espoir français devrait toucher un juteux contrat faisant de lui "l'un des combattants les mieux payés de la planète" pour son âge, selon les révélations de Maitres Fumiers.
Un salaire conséquent en prévision
Reste à savoir quand se fera la revanche contre contre Cédric Doumbé. Mais la date du 14 décembre pourrait être la bonne, le PFL ayant réservé la LDLC Arena de Lyon (salle pouvant accueillir jusqu'à 16 000 personnes) pour l'évènement des finales des tournois européens.
Une chose est sûre, Baki devrait toucher le jackpot grâce à cela. Dans le podcast Chapeau Vert, il avait ainsi fixé ses conditions pour un nouveau combat face à Doumbé : "Avec ma famille, on s'était décidé que ce ne serait pas en dessous de 500 000. Je sais, ça semble être fou. Mais déjà faut savoir ce qu'on a touché moi et Cédric. Les gars, 500 000, c'est pas tant que ça en fait. Combien j'ai touché ? Je ne vais pas dire, mais j'ai bien touché. Je sais que Cédric a encore mieux touché. 500 000, c'est vraiment pas impossible. Ils peuvent le faire. Donc s'ils veulent le faire, ils le font."
